Nom de domaine, hébergement, maintenance, évolution, migration.


1. Nom de domaine.

Un nom de domaine se "loue" pour une période de 1 à 10 ans.
Mon site.org par exemple, coûte ≈ 13 € par an. L'association devra être propriétaire du nom de domaine.

2. Hébergement.

Schématiquement, c'est un peu comme dans la vraie vie, cela va du camping sauvage à la suite de 600 m² avec piscine et vue sur la tour Eiffel.
Sans nous lancer dans un inventaire de toutes les formules du marché, voici quelques solutions susceptibles de nous intéresser :

  • Auto-hébergement (ou Serveur personnel, ou serveur local, ou Cloud privé).
    Il y a encore peu, c'était une hypothèse irréalisable pour un projet de cette ampleur. (certains se rappellent peut-être l'époque de l'internet 56 k, quand les ordis ouverts, en surchauffe, tournaient 24/24 pour faire du Ftp ou du Peer to Peer.
    Mais aujourd'hui, avec les progrès de la technologie, "l’impossible devient envisageable".
    Pour concrétiser un tel projet, je retiendrais au moins 3 conditions.
    – Bande passante
    – Gestion du serveur
    – Bande passante.

(A voir en passant, les solutions de synology et de son gestionnaire de disques Diskstation Manager)

Cependant, à moins de pouvoir bénéficier d'un espace informatique au sein d'une pépinière d'entreprises, d'une université, ou même, rêvons un peu, au sein d'un "cargo" le Cargo, nous retiendrons probablement pas l'hypothèse de l'auto-hébergement. De plus les hébergeurs "pros" ont des offres d'un rapport performance / fiabilité / prix ... incomparable.

  • Hébergeurs de sites Web.
    Etudions quelques unes des offres du marché susceptibles de nous concerner.
    On voit sommairemment se distinguer 3 catégories :
       – Les serveurs partagés (mutualisés)
       – Les serveurs dédiés.
       – les serveurs virtuels (VPS).

    – Les serveurs partagés ou mutualisés.
    Sur une seule machine physique administrées par l'hébergeur, on peut "loger" des centaines de sites internet.
    Cette formule convient parfaitement aux petits et moyens sites, comme par exemple celui dont nous aurons besoin pour la Phase I.
    La gestion est ultra simple ( trop simple trouverons certains car pas "d'accès root"... encore faut-il en avoir besoin et savoir configurer un serveur...), et de nombreuses application sont souvent disponibles en 1 clic : Cms, agendas... Des tarifs progressifs permettent de trouver son bon rappoort performance / prix.
    Avec une formule pro (entre 9 et 12 €uros par mois), on peut faire tourner un site vitrine avec 200 000 visites par jour et 1 000 000 de pages vues. (Un très bon article sur le sujet, ici).
    la création d'un site pour la phase I, permettra un premier test grandeur nature.
    – Les serveurs dédiés.
    Cette solution consiste à louer un serveur complet pré-équipé chez un hébergeur. Etant donné son prix élevé, il faut de bonnes raisons pour passer à cette formule:
    – augmentation du transit.
    – augmentation de la bande passante.
    – besoin d'accès root ( au cœur du système ) A noter que certain hébergeurs accompagne cette formule d'un service (payant) de gestion du serveur.
    A l'heure actuelle il ne semble pas y avoir de raison de se tourner vers cette option.

    – les serveurs virtuels (VPS).
    Sans entrer dans les détails (ça tombe bien je ne les connais pas), cette solution allie les avantages des deux premières. Le serveur est partagé comme pour la première solution, mais apparait à l'utilisateur comme un serveur dédié, en offrant un niveau de perfomances élevé.
    L'hébergeur administre le serveur physique, mais chaque machine virtuelle est gérée par le client (au sens commercial, pas informatique ). Parfois, des outils de gestion permettent aux non-initiés de Facilité cette gestion.
    Si à un moment donné la nécessité de quitter un hébergement partagé de type 1 se fait sentir, et nous verrons un peu plus loin pourquoi, ce pourrait être une bonne alternative.
    A suivre donc...

2. maintenance.

Etant donnés mes compétences et la diversité des scénarios, il est difficile d'argumenter sur le sujet.
Toutefois, il paraît indispensable, pour des raisons économiques, stratégiques et "philosophiques" qu'une partie (la plus simple) de cette maintenance soit assurée par des membres de l'équipe. Une formation externe et interne ainsi que des tutoriaux spécifiques devront probablement être mis en place.
A noter pour l'anecdote, l'affaire des "Panama papers" qui pourrait avoir été causée, en partie, par des absences de mises à jour de Drupal et de Wordpress.

3. Évolution.
Afin de ne pas "subir" une éventuelle évolution du projet, il pourrait être judicieux de l'anticiper, et je dirais même mieux, de la programmer.
La (les) première année sera une période de navigation à vue, une période test qui peut nous mener à différents changements de cap. (et petite parenthèse, cela concerne également un peu tous les sujets : la structure générale du Livre, les statuts de l'association... ) Et il pourrait s'avérer utile de prévoir des portes de sortie.

(en cours d"écriture)

4. Migration.
Sans être un sujet de première importance, il peut être utile de réfléchir "deux minutes" à la question.
Raisons possibles d'une migration:
1 – Evolution majeure du site, voire refonte totale.
2 – Arrêt du developpement et du support d'un CMS si cette option a été choisie.
3 – Raisons financières
    a – ressources insuffisantes.
    b – surplus de ressources (rêvons un peu) permettant une montée en puissance / fonctionnalités.
4 Le projet n"a pas rencontré de public

(en cours d"écriture)

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